Salut à toute la communauté d'Arte Corpus !
Je possède de nombreux surnoms, mais irl, je répond souvent au prénom de Christelle. Entre nous, se sera plutôt Eleyn, tellement mieux ;)
J'ai vu passer 22 printemps, la plupart sur ma côté d'azur natale, et plus particulièrement le Var qui abrite aujourd'hui mon petit appart en amoureux.
Le cinéma est toute ma vie, le jeux vidéo pas mal aussi, et récemment, j'ai découvert que je pouvais mettre un nom sur un style que, finalement, j'ai depuis toujours adoré mais dont je ne soupçonnais pas toute l'étendu et la splendeur, ma nouvelle drogue, le steampunk.
J'ai découvert Arte Corpus par hasard en cherchant sur le net un moyen de transformer mes deux trous du lobe gauche, l'un minuscule, l'autre bouché depuis des lustres mais jamais vraiment disparu, en un seul et même vide plus grand et, faut le dire, bien plus classe. Un piercing gros diamètre, donc, qu'un gentil monsieur aux tunnels impressionnants m'a fait samedi dernier au studio de Toulon.
Depuis, j'en prend soin comme à la prunelle de mes yeux au point de ne plus en dormir la nuit, veillant à rester du bon côté de la tête sur l'oreiller.
J'espère devenir moins douillette et encore moins trouillarde pour, qui sait peut-être, retourner me faire ôter encore un peu de chair aux oreilles, et si par miracle, un jour, comme ça, ma peau et mon courage décidaient de me le permettre, pourquoi pas aussi me faire peinturlurer à l'aiguille.
Je possède de nombreux surnoms, mais irl, je répond souvent au prénom de Christelle. Entre nous, se sera plutôt Eleyn, tellement mieux ;)
J'ai vu passer 22 printemps, la plupart sur ma côté d'azur natale, et plus particulièrement le Var qui abrite aujourd'hui mon petit appart en amoureux.
Le cinéma est toute ma vie, le jeux vidéo pas mal aussi, et récemment, j'ai découvert que je pouvais mettre un nom sur un style que, finalement, j'ai depuis toujours adoré mais dont je ne soupçonnais pas toute l'étendu et la splendeur, ma nouvelle drogue, le steampunk.
J'ai découvert Arte Corpus par hasard en cherchant sur le net un moyen de transformer mes deux trous du lobe gauche, l'un minuscule, l'autre bouché depuis des lustres mais jamais vraiment disparu, en un seul et même vide plus grand et, faut le dire, bien plus classe. Un piercing gros diamètre, donc, qu'un gentil monsieur aux tunnels impressionnants m'a fait samedi dernier au studio de Toulon.
Depuis, j'en prend soin comme à la prunelle de mes yeux au point de ne plus en dormir la nuit, veillant à rester du bon côté de la tête sur l'oreiller.
J'espère devenir moins douillette et encore moins trouillarde pour, qui sait peut-être, retourner me faire ôter encore un peu de chair aux oreilles, et si par miracle, un jour, comme ça, ma peau et mon courage décidaient de me le permettre, pourquoi pas aussi me faire peinturlurer à l'aiguille.