Bah oui, histoire de partager un peu avec vous ce que j'aime et ce que je fais (ou faisais). Voici un extrait d'une de mes présentations sur un forum ^^.
Ambiance(clicker avant de lire)
Une jeune femme brune traverse le port d'une démarche féline, prédatrice, ne prêtant aucune attention aux regards qui se coulent le long de sa colonne vertébrale, caressant la moindre de ses courbes de façon presque indécente. Déterminée, elle se fraye un passage sans même accrocher un regard. Il est évident qu'une affaire d'une certaine importance l'occupe et qu'il ne vaut mieux pas se trouver sur sa route, certain en ont déjà fait les frais, pas encore assez apparemment...
Un sifflet fuse de la foule, elle continue sa route, pas le temps de faire ravaler sa langue à ce chanceux... Ses chaussures émettent un claquement à chaque rencontre avec le pavé. Une diligence la rase de prêt, le coché l'invective copieusement en la dépassant, serrant le point et le levant vers le ciel comme si celui-ci pouvait lui en être témoin. Un fin sourire étire les lèvres de la femme. Soudain, un torse s'interpose sur son chemin. Elle s'arrête, ses yeux remontent le long du buste gras du propriétaire.
Alors ma jolie, on n'a pas été gentille avec Earley. Passer sans même se retourner alors que je t'ai appelé...
Son odeur est aussi répugnante que son apparence, sinon pire. Elle se retient avec difficulté de faire un pas en arrière, non pas parce qu'il lui fait peur - vu le taux d'alcool qu'il a dans le sang, c'est encore une chance, ou une malchance, qu'il soit encore debout - mais parce ses relents l'incommode au plus haut point mais il ne serait jamais dit qu'Aalana Davis avait reculé face à un porc aviné.
Il semblerait que votre définition "d'appeler" soit différente de la mienne. Vous devriez apprendre à utiliser votre langue pour autre chose que pour descendre des fonds de bouteilles ou vous risqueriez de vous en voir privé...
Ses yeux ont prit une couleur plus sombre alors qu'ils défient ceux de son importun. Le sourire n'a pas quitté son visage, seulement il s'est fait plus dur, plus... effrayant.
Serait-ce une menace ma p'tite dame?
Oh... non, pas encore... Earley...
Ne souhaitant pas s'attarder d'avantage, elle prend la décision de le contourner pour poursuivre sa route puisque pour elle la conversation est terminée. Une main large, pleine de graisse se saisit avec force de son bras.
J'vous ai pas dit que vous pouviez partir !
Il ne me semble pas avoir demandé de permission, pas plus que d'en avoir besoin d'ailleurs.
Fais pas ta maligne, sinon je s'rais beaucoup moins gentil.
Earley, lâchez mon bras où je ne garantie pas que vous puissiez vous en servir tel quel encore longtemps...
La tension est palpable, la foule autour semble s'être tue autant captivée qu'effrayée par le spectacle.
Encore des menaces?!
Non, cette fois il s'agit réellement d'une menace.
D'un geste violent, il l'attire contre lui, la faisant le percuter avec force et le déséquilibrant légèrement. Sa deuxième main se pose sur le corps de la jeune femme en robe d'un vert sombre comme celui des pins d'une forêt. Se servant du contre-coup du mouvement qu'il lui a imposé, elle réussit à se saisir d'une de ses dagues. L'attaque part avant qu'il n'ai compris ce qu'elle venait de dégainer de son fourreau de poignet. La lame en argent, mieux affutée qu'une lame de rasoir laisse courir une trace sanglante le long de son bras avant de plonger pour causer une entaille plus profonde qui causerait sans aucun doute des difficultés de mobilité au niveau du bras si ce n'est l'invalidité du membre.
L'homme grogne et sanglote en même temps tout en tenant son bras. Le son est particulièrement dérangeant mais elle n'a pas plus de temps à gaspiller. Encore une nouvelle rumeur qui cirulerait sur elle ici... Après tout, peu importe puisqu'elle doit partir sur le premier bateau qu'elle trouvera afin de se mettre en quête de la chose, l'animal ou la personne qui catalysera sa magie...
Ambiance(clicker avant de lire)
Une jeune femme brune traverse le port d'une démarche féline, prédatrice, ne prêtant aucune attention aux regards qui se coulent le long de sa colonne vertébrale, caressant la moindre de ses courbes de façon presque indécente. Déterminée, elle se fraye un passage sans même accrocher un regard. Il est évident qu'une affaire d'une certaine importance l'occupe et qu'il ne vaut mieux pas se trouver sur sa route, certain en ont déjà fait les frais, pas encore assez apparemment...
Un sifflet fuse de la foule, elle continue sa route, pas le temps de faire ravaler sa langue à ce chanceux... Ses chaussures émettent un claquement à chaque rencontre avec le pavé. Une diligence la rase de prêt, le coché l'invective copieusement en la dépassant, serrant le point et le levant vers le ciel comme si celui-ci pouvait lui en être témoin. Un fin sourire étire les lèvres de la femme. Soudain, un torse s'interpose sur son chemin. Elle s'arrête, ses yeux remontent le long du buste gras du propriétaire.
Alors ma jolie, on n'a pas été gentille avec Earley. Passer sans même se retourner alors que je t'ai appelé...
Son odeur est aussi répugnante que son apparence, sinon pire. Elle se retient avec difficulté de faire un pas en arrière, non pas parce qu'il lui fait peur - vu le taux d'alcool qu'il a dans le sang, c'est encore une chance, ou une malchance, qu'il soit encore debout - mais parce ses relents l'incommode au plus haut point mais il ne serait jamais dit qu'Aalana Davis avait reculé face à un porc aviné.
Il semblerait que votre définition "d'appeler" soit différente de la mienne. Vous devriez apprendre à utiliser votre langue pour autre chose que pour descendre des fonds de bouteilles ou vous risqueriez de vous en voir privé...
Ses yeux ont prit une couleur plus sombre alors qu'ils défient ceux de son importun. Le sourire n'a pas quitté son visage, seulement il s'est fait plus dur, plus... effrayant.
Serait-ce une menace ma p'tite dame?
Oh... non, pas encore... Earley...
Ne souhaitant pas s'attarder d'avantage, elle prend la décision de le contourner pour poursuivre sa route puisque pour elle la conversation est terminée. Une main large, pleine de graisse se saisit avec force de son bras.
J'vous ai pas dit que vous pouviez partir !
Il ne me semble pas avoir demandé de permission, pas plus que d'en avoir besoin d'ailleurs.
Fais pas ta maligne, sinon je s'rais beaucoup moins gentil.
Earley, lâchez mon bras où je ne garantie pas que vous puissiez vous en servir tel quel encore longtemps...
La tension est palpable, la foule autour semble s'être tue autant captivée qu'effrayée par le spectacle.
Encore des menaces?!
Non, cette fois il s'agit réellement d'une menace.
D'un geste violent, il l'attire contre lui, la faisant le percuter avec force et le déséquilibrant légèrement. Sa deuxième main se pose sur le corps de la jeune femme en robe d'un vert sombre comme celui des pins d'une forêt. Se servant du contre-coup du mouvement qu'il lui a imposé, elle réussit à se saisir d'une de ses dagues. L'attaque part avant qu'il n'ai compris ce qu'elle venait de dégainer de son fourreau de poignet. La lame en argent, mieux affutée qu'une lame de rasoir laisse courir une trace sanglante le long de son bras avant de plonger pour causer une entaille plus profonde qui causerait sans aucun doute des difficultés de mobilité au niveau du bras si ce n'est l'invalidité du membre.
L'homme grogne et sanglote en même temps tout en tenant son bras. Le son est particulièrement dérangeant mais elle n'a pas plus de temps à gaspiller. Encore une nouvelle rumeur qui cirulerait sur elle ici... Après tout, peu importe puisqu'elle doit partir sur le premier bateau qu'elle trouvera afin de se mettre en quête de la chose, l'animal ou la personne qui catalysera sa magie...